Dice la canción

Fuera De Mi Alcance de J Quiles

album

Fuera De Mi Alcance - Single

26 de octubre de 2016

Significado de Fuera De Mi Alcance

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La canción "Fuera De Mi Alcance" de Justin Quiles es una profunda reflexión que aborda temas de lucha, resistencia y la búsqueda de la libertad a través de la música. Publicada el 26 de octubre de 2016, este tema se enmarca dentro del género del reggaeton, aunque su mensaje trasciende las limitaciones del ritmo y se adentra en un terreno más significativo.

A lo largo de sus letras, el protagonista expresa su frustración con un sistema que relega a la mayoría a una posición inferior y observa cómo los poderosos continúan perpetuando la desigualdad. Esta crítica social se manifiesta en el uso de metáforas relacionadas con la lucha y el sufrimiento: "Donné tout c'que j'pouvais : d'la sueur, du sang et des larmes". Aquí, el músico describe un sacrificio personal que no busca necesariamente la fama o el reconocimiento, sino más bien una liberación emocional y colectiva.

Existen además espacios donde se revela una profunda autocrítica. El protagonista no escatima esfuerzos para ser honesto sobre su identidad y su trayectoria: "J'ai dû ravaler ma fierté". Esta vulnerabilidad no solo humaniza al artista, sino que permite al oyente conectar con sus propias inseguridades y luchas internas. La ironía se presenta cuando menciona que pese a todo su esfuerzo por luchar contra las injusticias, frecuentemente encuentra que su entorno sigue inalterable: "Parfois chez moi c'est difficile les trente derniers jours du mois".

El tono emocional varía entre lo reflexivo y lo combativo. A menudo parece surgir desde un lugar de rabia contenida frente a las injusticias sociales mencionadas en las letras: “Qu'un seul tienne et les autres suivront”. En varios momentos, invita al cambio, enfatizando que aunque pueda parecer imposible cambiar las cosas desde abajo, cada intento cuenta. El uso del tiempo presente en primera persona hace sentir al oyente como parte activa en esta narración de resistencia.

La letra también encierra mensajes ocultos sobre quién define realmente nuestro destino y cómo nuestras circunstancias pueden moldear nuestras decisiones. La imagen recurrente del 'pobre' como víctima sistemática invita a reflexionar sobre nuestra propia posición dentro del esquema social. Al decir esto: “Les portes closes, j'avance avec une clé de sol”, muestra que hay oportunidades escondidas incluso en situaciones desesperadas; tal vez la clave está en encontrarle sentido a través del arte.

Desde un punto de vista personal, resulta interesante observar cómo Justin Quiles canaliza su rabia e incertidumbre hacia algo constructivo mediante la música. Su declaración final refleja un deseo muy humano por ser recordado e impactar positivamente mientras que reconoce los límites del propio sistema: “Si le futur est flou, c'est parce qu'on est au pied du mur”.

"Fuera De Mi Alcance" es más que una canción; es un manifiesto sonoro donde el protagonista grita por justicia mientras lidia con sus demonios personales. La honestidad cruda con la que aborda estos temas resuena genuinamente entre los oyentes contemporáneos que comparten estos mismos desafíos diarios; estamos ante una obra relevante no solo por su calidad musical sino porque embona perfectamente con anhelos universales humanos por ser escuchados y dignificados.

Esta pieza resalta también cómo los artistas utilizan sus plataformas para hablar desde lugares auténticos; algo esencial en tiempos donde muchas voces aún permanecen acalladas. Así pues, "Fuera De Mi Alcance" despierta tanto admiración como empatía ante la fuerza regeneradora del arte en medio de adversidades cotidianas.

Interpretación del significado de la letra.

J'voulais que tout soit clair avant que le couvercle ne se referme
Une dernière fois, déranger l'oligarchie, les ministères
Cracher la vérité amère, de la part de la classe ouvrière
Passer mes nerfs... À travers quelques vers
Changer les choses, c'était le but c'est c'que j'ai cru
Je suis venu, j'ai vu, j'ai fait ce que j'ai pu , je te le jure
J'ai été jusqu'à parler de moi, moi qui d'ordinaire préfère me taire
Muet comme un voyou devant l'commissaire
J'ai essayé d'être juste, peu importe s'ils me croient
J'ai essuyé des insultes, et mes yeux quelques fois
Quel qu'en soit le prix à payer, j'paierai
J'préfère mille fois crever debout que vivre à genoux, c'est vrai
J'ai dû ravaler ma fierté, tenté par des vieux démons
En faisant semblant de sourire pour ressembler à tout l'monde
J'ai même mis d'côté la honte, pris sur moi souvent
Afin de mettre des mots sur mes dégoûts, mes tourments
Mis à poil en parlant d'moi, un peu il fallait qu'ils le sachent
Ce qui se cache derrière le masque, mon côté face ténébreux
Un côté sage qui semble n'être une mascarade fragile
Parce que, comme Anakin, j'ai la colère facile
Je suis pire que c'qu'ils imaginent, parfois la violence me fascine
Bipolaire, mon profil, mon passé, rend mon présent d'argile
J'espérais faire de la musique un moyen d'nous libérer
Que ma lutte soit autre chose qu'une défaite anticipée
Anti-injustice, j'ai essayé de résister
J'ai eu beau semer d'la paix, j'n'ai récolté que des procès
Donné tout c'que j'pouvais : d'la sueur, du sang et des larmes
J'y ai laissé des années, des amis, isolé, désarmé
Pour finalement quoi ? La richesse ? La gloire ? Non même pas
Parfois chez moi c'est difficile les trente derniers jours du mois
J'ai tout fait, pour n'pas déclarer forfait
Le faible a cette facilité à critiquer ce que le fort fait
Échouer ou réussir, mais au moins tenter sa chance
Moi j'dis que plus l'combat est grand, plus la victoire est immense
Je prends des risques, mais qui le fera si j'me défile ?
Je me sens vivre que si utile à mes semblables je le suis
Je me fiche bien qu'ils en rient, je m'écris, je résiste
Même sans profit, sans bénéfice, j'serai un bénévole lyriciste
Moi, pour que je cède, faudrait qu'je trépasse
Plante-moi dans le dos, si tu trouves encore de la place
Sous une bâche sont mes chances d'être suivi, c'est certain
Tant qu'y'aura moins de bon sens et d'courage, que d'crétins et de lâches
Et puisque rien ne nous attend à part le cimetière
J'écris chacune de mes rimes comme la dernière
Et s'ils pensent que j'frappe sans raison l'histoire m'en donnera elle
À bien observer leur vision : être libre, c'est choisir soi-même ses chaînes
Qu'un seul tienne et les autres suivront
Qu'un seul tienne, et les autres le tueront
On m'a dit : "L'union fait la force" mais qui fera l'union ?
Dans c'pays où les moutons se comptent par millions
Où la morale et la raison ont déserté les lieux
Où les riches sont plus riches, et les pauvres plus nombreux
Je n'peux rien prendre, je vous laisse tout
T'inquiète : un jour, la roulette russe tourne
Qu'ils se rassurent : j'n'ai pas fini d'me battre
J'n'étais pas rappeur, mais un révolté qui fait du rap
J'ai tenté d'être brave, j’espère ne pas m'être pas trop perdu des fois
Désolé si j'déçois, mais parfois, j'ai du faire des choix
Mauvais ou bons, ça : no comment
Indifférent, je sais bien trop d'choses pour l'être
Y'en avait un avant moi, y'en avait un avant lui
Après moi, qui viendra ? Après moi, c'n'est pas fini
Enfin j'espère, car vu le QI de ces pseudo-leaders
J'ai des envies de Columbine toutes les demi-heures
Dis-leur, que l'abandon et moi font deux
Si l'futur est flou, c'est parce qu'on est au pied du mur
Bien sûr, je n'souris pas je grogne, ne me caresse pas je mords
Si les autres sont réveillés, c'est que je dors
C'est p't-être la dernière fois qu'on m'entend, autant être franc
Je n'suis pas de ceux qui suivent, je préfère prendre les devants
Gardez vos distances, je garderai mon calme
Baisse d'un ton, et je baisserai mon arme
Je crois que tout est dit, ou presque
Je laisse, le silence faire le reste
P.S. : parmi les pauvres, enterrez-moi sans roses
En espérant qu'il pleuve, qu'on pleure au moins pour quelque chose
Comme toujours les plus faibles servent de proies
Rien ne m'étonne
Résignés, les autres ferment les yeux, sont borgnes
Pourquoi pour rêver, faut-il attendre que l'on dorme ?
Les portes closes, j'avance avec une clé de sol

Toujours les plus faibles servent de proies
Rien ne m'étonne
Résignés, les autres ferment les yeux, sont borgnes
Pourquoi pour rêver, faut-il attendre que l'on dorme ?
Les portes closes, j'avance avec une clé de sol

Letra traducida a Español

Quería que todo estuviera claro antes de que la tapa se cerrara.
Una última vez, incomodar a la oligarquía, los ministerios.
Escupir la amarga verdad, por parte de la clase trabajadora.
Desahogar mis nervios... A través de unos versos.
Cambiar las cosas, ese era el objetivo, eso es lo que creí.
Vine, vi, hice lo que pude, te lo juro.
Llegué a hablar de mí mismo, yo que por lo general prefiero estar callado.
Mudo como un chiquillo delante del comisario.
Intenté ser justo, sin importar si me creían o no.
Recibí insultos y alguna vez lágrimas en mis ojos.
Cualquiera que sea el precio a pagar, pagaré.
Prefiero mil veces morir de pie que vivir de rodillas, es cierto.
Tuve que tragame mi orgullo, tentado por viejos demonios.
Haciendo como si sonriera para parecerme a todos ellos.
Incluso dejé de lado la vergüenza y asumí muchas veces.
Para poner palabras a mis ascos y mis tormentos.
Desnudándome al hablar de mí para que supieran un poco lo que hay detrás de la máscara: mi lado oscuro y tenebroso.
Un lado sabio que parece ser una frágil mascarada.
Porque, como Anakin, tengo la ira fácil.
Soy peor de lo que imaginan; a veces la violencia me fascina.
Bipolar es mi perfil; mi pasado convierte mi presente en barro.
Tenía esperanzas de hacer de la música un medio para liberarnos;
Que mi lucha fuera algo más que una derrota anticipada.
Anti-injusticia he intentado resistir.
Por mucho que sembrara paz solo coseché juicios.
Di todo lo que pude: sudor, sangre y lágrimas.
He perdido años y amigos; estoy aislado y desarmado.
Y al final qué? La riqueza? La gloria? Ni siquiera eso.
A veces en casa es difícil los últimos treinta días del mes.
Hice todo para no darme por vencido.
El débil tiene esa facilidad para criticar lo que hace el fuerte.
Fracasar o triunfar; al menos intentar aprovechar su oportunidad.
Yo digo que cuanto más grande es la lucha, mayor será la victoria.
Asumo riesgos, pero quién lo hará si me echo atrás?
Solo siento vivir si soy útil a mis semejantes.
No me importa si se ríen; escribo y resisto.
Incluso sin beneficio personal seré un letrista voluntario.
Para hacerme ceder necesitarían acabar conmigo.
Plántame un puñal por detrás si todavía encuentras espacio.

Bajo una lona están mis posibilidades de ser seguido; eso está claro,
Mientras haya menos sentido común y coraje entre tontos y cobardes,
Y ya que nada nos espera excepto el cementerio,
Escribo cada rima como si fuera la última.
Y si piensan que golpeo sin razón las historias se encargarán de dejarlas claras.

Al observar bien su visión: ser libre significa elegir uno mismo sus cadenas;
Si uno se mantiene firme otros seguirán,
Si uno se mantendrá firme otros lo eliminarán.

Me dijeron: "La unión hace la fuerza", pero quién hará esa unión?
En este país donde los borregos se cuentan por millones,
Donde la moralidad y el razonamiento han desierto los lugares,
Donde los ricos son más ricos y los pobres más numerosos.

No puedo llevarme nada; os dejo todo.
No os preocupéis: algún día girará la ruleta rusa;
Que estén tranquilos: aún no he terminado de luchar.

No era rapero sino un rebelde haciendo rap;
Intenté ser valiente; espero no haberme perdido demasiado a veces.
Lo siento si decepciono; pero a veces tuve que tomar decisiones:
Malas o buenas... eso no tiene comentarios.

Indiferente sé demasiadas cosas para permitirlo;
Había uno antes que yo; había uno antes de él
Después de mí quién vendrá? Después de mí esto no ha acabado
Ojalá... porque visto el IQ de estos pseudo-líderes,
Tengo ganas constantes de Columbine cada media hora.

Diles esto: abandonar y yo somos dos diferentes;
Si el futuro es difuso es porque estamos contra las cuerdas;
Claro está: no sonrío — gruño — no me acaricies o muerdo
Si los demás están despiertos es porque yo estoy dormido.

Quizás esta sea la última vez que se escuche mi voz; mejor ser franco:
No soy uno más del rebaño — prefiero marcar el camino con

Traducción de la letra.

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