Pikete de Yamilo & Nesty

Hello, Bonjour, Bonsoir
Mesdames, messieurs
Mesdemoiselles et damoiseaux
Enchanté, Je suis le personnage
On va passer un ptit bout de temps ensemble
Assure toi de quelques petites choses
Je te fais une mise en bouche, met ton casque ou tes enceintes, ferme ta porte a clé
Coupe ton service mobile et 4G, tu n'en aura clairement pas besoin

En gros, je vais te poser mes couilles sur 50 minutes
Sur des instru lourdes, que je dédicace à la fin si j'ai le temps car c'est du putain de taff
Aller, règle le son et laisse le personnage t'inspirer ok ?
5 4 3 2 1

Yo, coupe ton réseau
De ton bigo et apprécie le flow
C'est l'personnage, qui va t'impréssionner
Tel un perse capricieux qui tire sur des paroisses

Les leçons et bah je t'en lance une
Comme une lotion pour les cheveux
Ces portions lissées de beuh
Que t'as pris sur l'action pour une lycéene
Hélas, elle t'as lassé le lasso
Tu l'a sauté mais elle voulait l'alliance
C'est locace d'être vorace, sur les alias
Meme si c'est pour qu'alice te félationne
Pour une absence tu te cadance
A être candide, et c'est flattant
Sagement, tu regarde cette fille en bavant
Rêvant de lui mettre tes cm dans le bas ventre
C'est marquant comme Satan qu'apparait dans ta charpente
Mais tu satures le serment, Et t'étais partant
Quand c'etait le craquement
De plates bandes
Tu marchande le crack et tu plisse ton bide

Car c'est ta pulsation de finir au policier
Pour un bout de pelouse, mais t'as pâli
Parce que t'étais pas en place et
T'es parti avec une adolescente c'était obsolescent
C'est l'afghan d'entendre ces lassantes leçons
Le son des ces cons qui font que trainer
Ou de moteur qui font que faire chier
Foncez dans le mur, foutez nous la paix ?
A 4h du matin , tout mes potos
Tous vont te tendre la main
T'aider, t'héberger, sans penser à demain
Quoi c'est pas ça l'avenir ? aider son prochain ?
Toi tu tacles ces chômeurs
Qui taxe l'État, mais creve d'une tumeur
Je ne peux te voir mais même 1/2 heure
Plains toi vas y mais qui paie ta deumeure ?
Oui qui paie ta deumeure et ta deumeurée de femme
Devant votre télé, avalez ces amalgames
Suicide toi à l'asparthame
Promene toi dans ta ville, regarde
Tu n'as jamais eu envie de tous les abattre ?
Tout ces gars en cravate ou tard la nuit avec une cravache
Ils sont dans des palaces ou des sacrés appart'
Regarde plus haut, tu aura envie de vomir
Regarde plus bas, tu auras envie de mourir (x2)
Completetement plein
A te poser la quesion à quoi bon être sain ?
Et tu bois ton 8e shot serein
Calcine ton foie jusqu'à ta fin
Attend un peu qu'on te teste à terre
C'est pas tout ça j'ai encore du texte à faire
Et j'ai pas besoin de ton attestation
Je vais t'affranchir, de ton arrestation

Si le rap manque de fraicheur de contestation
Je viens apporter la nouvelle -souffle- aération(x2)

Balance l'instru que je m'installe
Inspire toi du style que j'instaure
Sur l'instant, laisse l'instinct faire
Que je t'instruis,de mes actions
Abstien toi d'l'acide
T'as déja du mal avec de l'absynthe
Résiste et active toi
Voilà ce que je peux te dire
Car moi je le fait pas et mon état empire
Si je continue dans trois ans on devra m'opérer
Mais j'aime tellement quand mon veau-cer monte en ampère
J'ai vu des bonnes poire prendre d'la pure
Opéra en grande salle dans la pensée
Alors que tu t'pourris la santé
Et c'est ça qu'on devrait appeler "empereur"
Je suis en pleurs, envie de de partir d'un port
Voir la vie en pire et pas avoir de remords
Dépasser mes peur, quitte a plus avoir de quenottes
Découvrir le pire et le meilleur
Mais surtout pas de reproches
Entre nous deux y'en a un de trop
En 2 intonations, un nain pro
Viens de te sortir ça
Fais ta donation en dalmatien et repart dingo

Laisse faire le nain doux
Tu te sens violé comme une indou, aux seins doux
Mon saindoux lui ferra guise un rince bouche
On te retrouve a saint cloud, en PLS dans des bains douches(x2)

J'sors de mon taff avec des pourboires en poche
J'tors ceux de ton féca, qui touchent les poitrines des grosses
J'pétrie ma hache et je retourne la fosse
Pendant que tu effrite ton hasch et que tu enfournes ta folle
Je défonce les fiers et tu dénonces ton frère
J' affronte les forts, et tu renonces ton pères
J'arpente les ports, tu retournes au bar
J'fréquente les morts, Tu te retâtes la bite
Tu comprend que se confronter à des grandes frontières
Tu fera cher ma, t'emmenera juste a la grande fontaine
Aller prend mon grinder foireux, et roule le foin des grands
Tu trouves le join trop long, moi je te trouve pas très franc
T'as beau être foncé ou pas, tu reste cé - franc
T'as failli foiré, c'etait effrayant
Euphorique sur une voie ferrée
Heureusement que tu n'as pas pris la voie féerique

Tes cheveux crépus, tu te cramponne
Au crépis, t'as le corpus acroupie
Au mépris, j'ai le corps, l'anus des groupies
J'fais des chromes a chronos pour les créneaux en caisse
J'soupir pélo

Un fou rire, une déconne
La revolte les récoltes
Les colles et les blocks
Les démons les méthodes

Un sous fifre et des connes
Un solstice c'est le décor
J'sollicite l'air féroce
Le serum sous vide

Les Stupéfiant, Le Stupéflip Crew
C'est l'apocalypse 894
Le puissant contrevent qui cautérise
Tout avec des caisses clairs qui claquent
Moi j'incante le bonheur
Si je monte les octaves
C'est seulement parce que je crie fort
420, Fais du quad sans main
Pense à katsuni, et les 400 chiens
Tu te dis français de souche hein ?
Vote Fn,parce que t'aime pas les manouches
"Mais oui c'est clair" - comme dirait un certain/célèbre Eddy Malou
Je vais te parler d’un gars
Pas tres beau ni tres classe ;
Pourtant tres bio il s’installle
Il vit d’l’instant, d’instinct
Il fume le chanvre indien
Il s’infuse des siens
Du join, pourquoi pas du foin
Pourquoi pas un refrain ?
Nan c’est trop dur d’en trouver un bien
Il en juste marre, de voir trop de sous race
Prendre le pouvoir, ou juste le vouloir
Merde le trône n’est pas un abreuvoir
Et puis il aimerait voir des tas de gemmes vrais
Pas un gervais, j’tai dis des gemmes vrais
Au pire va voir un berger, il pourra mieux te bercer
J'ai envie de percer, de persévérer de percevoir, des ronds
De rien foutre, pouvoir juste etre rond
Ou meme juste blond
De m’appeler Justin Bieber, Être en concert a travers le monde
Traverser le corset d’une blonde, et faire juste 1 avec elle
Meme juste etre corsaire sur mon galion
Inquiétant d’une chose, que le bateau touche pas le fond
Que les tonneaux de rhum soit plein, qui’l ne reste pas le fond
Et que si un marin foire, on verra son caleçon
Flotter dans l’eau, avec le restes de ses os

Commander un équipage de rénégat
Vivre comme un scélérat, enfin j'dis ça en général
Mon attaque est cérèbral et c 'est du pré réglage
Un télégramme me parvient; il me dit "c'est préfèrable de pas lacher ces cess"
Mais je fume la végétale, ca me rend télépathe et je continue
Même si je me répète grave

J'me dégoute defoncer, sans goutte, j'garde du gout
Même si c'est pas l 'heure du gouter
Sort de ta grotte, si c'est ta glotte
Que tu sens grossir a chaque gorgée de Guiness
Je suis un anti raciste sans devant
Meme sans les dents
Oui meme sans les dents
J'décris sans edition
Et j'dément avec émotion
J'devance les bastion
Ceux qui cassent tout avec des bastons
Moi je casse les règles en fin de mois sans pantalon
Jouissant d'casser un parpaing sur l'patron
Avec leur patrimoine, mais seront jamais les moines de notre putain de patrie
J'ai hérité du talent d'achille, mais j'ai eu que son talon (x2)

Ce soir, j'ai juste envie de parler
Envie de.. dire des choses sincères, qui me plaise autant qu'elles me dégoutent
De raler sur ces politques, qui restent entre eux, entre reptiliens, alors que certains, mordent la poussière du voisin
Qui vivent comme des chiens, mais même des chiens raleraient
Ils aboieraient même. Mais là, ils subissent, nous font signe, on le voit en plus on le sais mais personne ne se lève pour eux
1% de la population possèdent plus de 60% de la richesse mondiale
Que font les 99% ? ils regardent les 20% les plus pauvres, et ils attendent d'en faire partis

1% c'est probablement les neurones qu'ils me restent
Mais tant pis j'ecris ce texte
Et ce pas à la craie, crois moi
J'ai déja fini sur le carreau
Et ce a cause de la marie et de la kro
Ca me détruit, mais je reste accro
Restons courtois
Mais ce besoin s'accroit
Alors je sors mes cros
Concrètement, j'ancre de l'encre
A coup de crayon
J'veux rester discret
Mais j'crève l'écran
Je vais te carry à la cainri
Ce son va être un courrier
Je reste cohérent
Prêt à accueillir les miens
Je les croierais toujours
Ce sont de sacrés couillards
Prêt à tuer un orc

Mon texte te plonge comme un homme à la mer
Tâte ce rythme, ce morceau rendrai amer un homard mort
Meme sans farine, je ne failli jamais
De Paris à Marseille, on est des mammifères

Laisse mamie faire, j't'envoie sur mars avec ma clique d'infirme
V l'a le mur de rime, je suis le Vald de Leader Price ou de Carefour City
Pas celui du val de marne
J'emmerde ma femme, elle s'entête à me dire
Qu'on à pas la meme reference d'Homère

Mon flow frole les 100 000 Ampères
Mon soss viole tes 100 000 comperes
Je suis pas celui qui à 100 000 compagnes
J'sui plus kiwi foncedé que jimmy punchline
Je déteste les poivrots, pourtant suis alcoolique à la bière
Et je hais les toxicos mais je suis rester au zder
Toute cette dépendance mais j'en suis sidéré
Envie de me barer en sibérie
Oui Andy m'as mis six soufflette
Que veux tu mamadou sisoko
Je finis si bourré
J'en deviens sous doué
Ugo Jenin, Le Personnage vous le savez
Je joue pas à chanter andalouse
J'jacte pas sur les scandales
Ou en sandales j'ai du mal a être sociale
Je suis sensible mais je suis respectable

Inoffensif comme un enfant de 4 ans
J'défonce les bouteilles de cointreaux
Mon flow devient une cataracte
J'enfonce mes punchlines TABARNAC

Aller va au bar tabac
Sèche pas comme blackappar
Ou tu perdra v'la l'apart
De bâtard, t'emprunt la salade

Des chromes a des négros vont t'avoir, au mattraquage
Fais l'effort, avorton, retire ta cravate

J'mate l'asphalte évoluer
Halte, j'avale la H K d'mon épicier
J'lutte, telle un Cafard qui cafte
Un sale bavard avare qui va pas a la cafetière

Confie toi, ce qu'on vie là
11 minutes 30 de bon kick de ce son qui brave
Tes prochaines branlettes sur les bukkakes
C'est les bons comptes qui cassent les pontons de Hong Kong

Le bourbon c'est c'est barbant
Embrouillé, le barbot, roux dans le rap
Dans le brouillard
T'as broyé les os, Et tu es rentré bredouille
Sans bretelle sans couilles

Prête pas attention à mon caractère
J'ai du mal à obeir à mon subalterne
J'ai encore rien dit car je déblatère trop
J'déambule, comme un titan
J'défonce une conne d'un teuton
Je féconde le rap sans tatoo
J'porte ma pinte sans tabou

Probable que je tombe de ce tabouret
On se souviendra de moi comme le gars bourré
Pas grave tant que j'ai du teuteu dans ma tente
Tentant d'attraper des tétons sur de la trap;

J'ai encore mon A sur mon permis de rapper
J'ai pas de phases , je l'ai eu au rattrapage
Dans mes textes en live ya des marques pages
Un verre de trop tu tombe du lit avec un cataplasme

Je t'aide a digérer tel un armagnac
Tu m'verras jamais faire du krav maga
Je m'accapare la salade si elle est dispo
Car ma matraque elle te disloque
Et les arabes s'battent dix contre oit

Pourquoi t'as une perruque ?
Tu l'as voler au proc ?
A moins qu'un perroquet te la procure
Je capte pas, ah ! tu l'as trouver dans le parc !
Viens on va se précuire au calva
A en finir sur une presqu'ile ou sur le parquet
On serra sous un parqua, Presque ivre
Non

Va réviser tes cours sur l'égypte anthique
Pendant mon crou fais de l'ethique dantesque
Des rimes sans plexe-con, te torsade les pon-tam
Mais c'est bon tant pis, Presque la tornade dans des complexes

Mon, texte de dandy, Pas de diez de bandits
Qui te vole ta seize tes dix francs
Après tu t'envole de la verte qui te rend distant
Aller dis stop, s'il te plait avant te faire disséquer

Pivote, si tu te sens dislexique
Au milieu de mes dix lexiques
Disperse vite, tes types qui s'battent douze contre oit
Pour dix sesterces, sur du Don Choa

Donne moi le choix de choper de l'espoir
Mais escompte pas partir sans voir des spirales
Ou des spots de lumières laisse les croire
Ceux qui s'espante avec de la despé, (en Espagne)

J'ai encore maigri, on dirait je sors d'un pressing
Je fume a en être amnésique

La gueule d'un héroïnomane
Le corps d'un somalien
Je suis plus blanc qu'un raciste de base
J'en suis a me briser le foie

Autenthique comme un attentat
Au mois d'aout qui porte atteinte à notre été
Tente pas des tactiques
Hâtivement si c'est trop tôt dans ta tête

Dans le secteur ma section est active
J'passe des betes de pacte avec le diable
J'tangue, souvent bourré, on m'appelle la variable
J'te montre je maitrise la diction
J'passe à au contact, à l'acte, ça te frictionne
Inexact, comme l'heure de l'entracte, dans une fiction
Autodidacte, vois moi comme un artefact, yo
Ce genre de truc parfait, qui talk de tact
J'fais obstruction, ou abstraction
Tant qu'il y a de l'impact
Compact, ça te fais des accouphène
Mets ta conso sur mon compte
Tâte un coup de couteau
J'cotoie que des gens qui s'cuite
Ou des connes à couette
Sous ma couette
J'leur cassent les côtes
J'compte bien kicker
Squatter tard dans ma cahutte,sans étiquette de tout coté
Avoir la quinte, papoter d'actu
De quota, de Casu, de coquette
Coquine, de plaquettes
De coyotes, de ceux qu'ont côtoient
De ceux en qui ont croix
Des hécatombes connues
De se déchiqueter, avec des sales coutumes
Même si c'est coutant, certains perdent l'acuité
Avec le cœur d'un caillou, ça inquiète ceux qui t'écoutent
J'entend encore cette pute ses échos
Quand j'lui claquait la cuisse
Un moment j'ai cru que la capote craquait
Aller j'arrête j'suis précoce, j'ai joui avant
De capter comment la mettre (cette capote), mais vu c'que tu faisais
J'me contenterai de compter cette punchline, à toi sale pute, tu sais de qui je parle
Vu c'quon s'est dit, j'te mépriserait pas mais :

Casse toi catin, t'as le jeu d'acteur
De marion cotillard, dans dark knight, (x2)

La jeune julie revient avec des angelures
C'est un ange pur, Un Goujat lui a pris son gilet
Ce jaloux est devenu son geolier
C'est pas joli joli et jean loup lui a joui sur la joue

Et il lui remet une gélule dans son verre de jaune
Mais il a mal jaugé sa pathologie ,par manque de jugeote
Elle s'est mis a perdre son agilité, et a arrêter de bouger

Il ne s'est pas assagie, en la voyant giser, sur le sol
Il a trouver ça génial de lui remettre un coup de gelée
Ca s'est passer en Janvier y'avait pas beaucoup de gens
C'est donc la suite logique s'il l'a pris une pelle pour réviser sa géologie

Et c'est pas de l'algèbre, nan mais c'était gore
Il a fait ça de son plein gré et s'en souvient comme une heure de gloire
Jo repense a reproduire ça au Gala, de manière galante
Se met a casser la glace avec une Gladyss a gloss, (plus le temps de faire la glue)

Il l'emmène hors agglo et se gare sur le parking
Il sors son glock
Et lui cale dans la glotte plus de temps d'être glamour
Il crache sa glaire dans sa grotte, ça aurait été une anglaise
Il aurait fait un Glory Owl, (même sans gluten)

J'prescrit d'écrire
Je proscrit les vertiges
J"exige de l'estime
Et j'esquisse une perdrix
J'excelle dans le rap car je suis exquis
Ça marchera pas alors je prend la sortie exit
Quand je veux, j'débite et j'reste ivre
Du moment que je m'exil pour exister
La je persiste car j'excite
Puis j'lessive ceux qui me méprisent
Précis, j'décime toutes ethnies
On viens tous d'une orgie mère fils
Ça fait frémir et dériver ceux qui sont de l'église
Encore une clé gi sur une tissmé en légging
A l'air féline, Très flexible
C'est dit celle ci se nommait cécile
Une petite lady en jeans Lévis
Retire ma chemise et me tâte le pénis
Une énigme parait qu'il a un gout de réglisse
Elle s'estompe dès que je lui fait des
Sales sensations dans des intestins
Ou que d'impression qu'elle a hésité lorsque
Ma fessé lui a pétrie les cuisses tel un séisme

Attend j'aiguise ma rime, et j'gazouille les gueuses
J'reviens de Guizeh, Go s'gazer
Avec la go allongée sur le gazon
Viens me déloger et prend mes phalanges dans le gosier
Frelon tise pas c'te fiole
Elle va te fouler le foie
Et t'affliger la foule
Tel un félin fou
Tu fil dans ta philo
Affalé, t'as perdu le flux
Tu pose un flanc
Tu te prend une gifle
Le visage enflé
Tu te défoule au feeling
Fini avec la folle Ophélie
A t'en fêler le frein
Elle a pousser le refrain
Mais t'as eu la syphilis
Affolé et full tu t'es mis du fioul sur phallus. et les couilles
C'est ma ruche et c'est tout
C'est normal et c'est vous
C'est le guiz la banquise
Le mec qui m'a peut être rendu ivrogne

Mais il s'est excusé dans amicalement vôtre
Et merci à mes proches qui m'ont supporter
Je suis qu'un gamin incapable de capter
Que j'suis quelqu'un bien
Qui aime être perché
100% j'tiendrai pas le centenaire
J'suis ceux qui aime s'autonuire
J'remercie ceux qui m'ont soutenu
J'aime trop me buter, et merci aussi
Aux femmes sans tenue qui m'ont sucé

Je jugerai pas celles qui préfère fluter
Que me frustrer, excusez, Merci de l'avoir fait sans grumeaux
J'suis une tête brulée, Pas très rusé
Essaie pas d'me duper

J'aurai ta place avant que tu sois duveté

Et si j'suis dupère c'est a cause d'un pur
J'aime trop fumer, être libre
S'poser sur une fusée
Dire patate et purée, PLAGIAT ORELSAN LA FAIT

Pardon pour ce verset de trop
Ouais ce n'est qu'un versant de moi
Un virus sevère qui lutte contre l'avarisme
Une volupté ne vois tu pas ?
Un mec agile un peu versatile
Qui à du mal à voir ça
Son verso, son univers
Comme un vice et versa quand je bois deux bières serrés
Au temps de la Gaule j'aurai bu que des verres soft
Autant j'aurai suivi vercingétorix
C'est un peu mon coté hardcore posséssif
Un death note j'aurai eu, on serait plus que vingt mille sur le globe
Alors j'en verse un pour alter ego inversé
Ya eu Renaud renard, gainsbourg gainsbard le personnage et le perso cru
Le pers de trop, et le mec instruit
Et dis toi bien que c'est pas encore les abysses de mes idées
C'est mes ambiances de bases, j'ai du mal à parler sans mon boz de weed
Ma pinte qui m'abaisse et une tonne de basse

Maintenant j'te montre ce qu'est mon univers
Du guizmo une frêre, un pillon d'herbe de deux mètres de long
Ou un oxmo puccino et une nouvelle bière à tester
Et si j'atteint le succèes, et bien j'espère le faire avant l'ulcère

Ou le suicide,j'y ai déjà penser, à me perdre dans une cuillère
Car j'fume sec c'est vrai et l'amour et bien j'ai du l'perdre
En vrai des dépressions des songes malsaines
Et mon égo il ne pense qu'a ça, et il a trouvé la lumière du tunnel

J'ajuste mes lunettes de justesse, avant de dire ce funeste couplet
Si je taff mon bescherelle c'est pour mes pulsions dans ma cervelle
Merde je sais rien faire à part Jouer Shaco Top
Ca m'a fait un choc quand j'ai checker

Une méditation c'était chaud sec
Skyzophrène, j'le sais, je l'ai vu dans son cachot
Il m'a fait six chèques pour le faire sortir
Et j'cogite à l'faire, parce que j'sais pas si j'ai le mérite de vivre

Comme j'lai dit je sais pas quand sera la fin de ma vie
Et on partage ce corps, mais ce barge me baratine et j'le sais
Mais il me plait, ces vices, ces idéaux, ces discours
En pleine cuite il s'aime imaginer tuer six potes

C'est mon coté obscur, l'ultime barrière un peu risque tout
Il me fait des bisous, indiscret, il ne pense qu'à voler des sous
Il tape sec contre ses barreaux je l'entend me hurler
LIBERE MOI, j'hésite car il me parait honnête

D'un égoïsme pragmatique, qui plait aux riches
Ca me fout la migraine, mais il pense à tellement de trucs horribles
Violer des enfants, tuer ma mère, mon père mes potes
Partir sans regret et continuer sur une pareille lancée

Étrangler des familles, décimer des juifs
Des bougnoules des asiats, des eureopéens, des américains
Tout ceux du monde qui me semble malfaisant
C'est a dire tout le monde sauf les animaux
Pourquoi vivre si c'est pour être un parasite
Être statique s'avachir, m'écouter
Dans ce texte jme suis vider comme une pile alcaline

Je vais un peu le laisser parler
Prendre le dessus, qu'il puisse s'exprimer
Je sais tu ne t'évadera pas, de toute façon tu sais juste être vaseux
Et tu sais que je t'envie un peu..

Aller tais toi tu m'ecoeure, ta simplicité
T'es un vrai p'tit gentil, t'aime trop les gens
Ta confiance, tes potes, me répugnent
Tu m'aurai accepté on serai quelqu'un aujourd'hui
Tu as honte de rien

Tu parles de jardin d'Éden,avec moi
Tu aurai eu des jardins d'enfants
Adulé par des adultes
T'aurai charcuter plus de culs

On serai une tête de secte
On aurait fait basculer
La terre entière
Dans un parfum de folie

Leurs larmes deviendront crachin
Et de leur chagrin on sera armés
Ou la frayeur d'un ravin ?
Ca te parle cette odeur de sapin ?

La barbarie la colère, notre intrusion
L'intensité de notre fougue, l'invasion
Des effractions comme moyen d'intimidation
On aurait rendu la violence familière

De nos coups de notre rage, sortira le courage
De notre couroux notre furie sortira la ferveur
Notre frénésie une comptine connue de tous
La férocité comme complice
Ils tousseront du sang
Et tous seront fous

L'amertume
Leur terreur notre exaltation
La peur la démance comme unique passion
La déviance et l'horrification aurait cedée dans la rue

On nous craindrait par notre soif de sang
La vengeance, l'homicide, seront les epreuves sacrées
La vertu corrigée, l'atrocité paraîtra saine
Et de nôtre trône de fer on dominera tout

La licence du mal incarné ça sera nous
Leur effroi notre puissance, un vrai martyr
On les guidera dans notre fièvre tel des marionnettes
Lls seront traumatisés, par la force des murmures

Des pantins, des mannequins ce qu'il seront devenu
Notre trame de fond l'injustice le trouble
Les lésions du crane sur les faibles
Notre mort pour obstacle

Le reste un spectacle, des orchestres de tracas
La foule sautera sur leurs semblables au sol
La tristesse et la detresse comme buffet
La souffrance les sanglots seront symphonie

Notre forfait la désolation
Le crime et l'obsène
Notre liberté d'action
Leur blessure notre confort

La bestialité sera normale
Ils se heurteront à nous deux et seront empalés
Sur la place publique, avec une brutalité sans précédent
Leur organes écorchés, leur pensées lacérées
Les resistants bétonnés, les biens pensant pendu au gibet
Imagine toi une seule seconde sommet de la hierarchie
Le monde à nos pieds on continuera de s'acharner
Sur le bout d'inhumanité, qu'on à pas encore fait
Le souffle de corruption, les incendie quotidien
Les problèmes paraitront solutions
La crise extrême, Le final de l'homme
Que des choix dratisques, notre race en phase terminale

Le désespoir l'aléatoire comme seule pendule
On prechera la vice et le peché
La c'est bien le verso du perso
Nage mais il me referme

Merci de m'avoir détaché
Et sache que c'est qu'un versant de mes tourments
Quelques lignes en espèrant que ça te trotte dans la tête
Que tu t'inquiète du moment ou je prendrai le dessus

Et de la torture que tu subira car je te persécuterai
Oui c'est à toi que je parle, mon alter altruiste
Si je prend ce corps je le garderai à vie
C'est surement pour ça que tu me laisse en garde à vue
Dans tes grands tiroirs intimes de ta petite cervelle

J'reprend l'accès de mes actions
Tu ne me feintera pas, avec tes illusions
Moi je suis la chimère, de la tendresse et de l'amour
De l'utopie, de la piété, j'suis un peu tout ça mélangé

Je rejette que les gens abjects
Mais j'accepte ceux qui se repentent
PAs ceux qui se lamentent
Les ignomies ça me flétrie comme une allumette sous la pluie

Avec un bouchon fermé, je déborde de générosité
Autour de moi que des heureux si ce n'est
J'affectionne que des gens éfficaces
Inconscient reste pas devant les caissons

Je suis l'homme qui te paie sa conso et te remet dans l'axe
J't'excise ce beat sans saxo, des lyrics culte d'affection
Qui te donnent des conseils concis, et si t'encaisse mal c'est que t'es coincé
Je suis capable de tout pardonner, je vais t'acquitter de tout
J'admets ma simplicité d'esprit

Mais j'aime croire en l'humain et ses prophéties
J'aime voire la flamme qu'il à, sa joie de vivre, dans la nuit le rhum et le chant des hommes font briller les étoiles
A la volonté de l'âme, à l'immensité de sagesse
À la gravité subits et les poids de la justesse de mes propos

Pour nos propres défauts qu'on s'approprie
Si on peut les négliger ça ne serait pas de trop
J'rétablie la vérité personne n'est parfait
Mais on est tous qualifiés pour s'en rapprocher

Tate cette performance
Passe dans les champs de chez moi, ça t'enchentera
Le coassement des crapauds
Le Kss Kss des cigales
Te soignera honnetement
Te remettra d'aplomb, Viens partager ta connaissance
Transmettre le savoir, voilà mon abondance
Jamais je n'abandonnerai ma quête
Tant que j'ai une bière de la verte et un frêre
Voilà le fond de ma pensée, j'avance à tâtons
J'aime le sombre à l'ancienne et le son de vacanciers
Et ce que je vais flancher, et me flamber la santé ?
C'est une question qui se pose, quand tu fais du karaté le guiz teste l'hypnose
Et si tu pars full AD je prend une cotte épineuse
Sans faire le concitoyen, mon constat est philanthrope
Et si la faucheuse viens me chercher
Je frauderai la mort comme un métro de Paname
J'enverrai le perso cru en premier
Cette parti corsée de moi
Sur le grand carosse pour arreter de m'encrasser
Il empeste les mauvais chakras
J'm'entête de le dire
Moi j'veux que de l'amour sur cette terre
Qu'on ai pas honte de le dire à père mère
Ils sont comme toi, ils sont éphemères

Juste une dernière création de ma part
Tu va crisser sur cette écorce que j'ai graver
Et je casse le coccis de celle qui t'a conçu
Avec du Oxmo elle acquiesse, une baguette
Deux tambours j'ai jouer du xylo sur ses fesses
Tu l'entend encaissée mon sexe brut qui à le gout de mes ex
Un problème de cuisson ? elle a mordu le coussin si sec

YO !
Il a encore envie de parler, va falloir se confronter pour être certain
De qui prendra ce corps bourré jusqu'à la fin de ses jours
Montre toi un peu, sale merde qu'est ce tu attend, c'est l'heure du duel !

OK OK :
Moi, j'encaisse des leffes, Toi t'es en classe affaire
Moi j'ai de jolies escortes toi tu scande la joie
Moi je suis saoul toi t'es juste sain
Moi pendant j'anticipe tu aime improviser

Moi j'aime vivre, toi tu aime nuire
Moi j'aime aider toi tu aime la souffrance
Ouais mais pendant que j'apprend tu fais que critiquer
Mais je suis sociale toi t'es solitaire

Moi j'aime les excès de mepris, essaie de me comprendre
Nan moi j'offre ma confiance toi tu t'offusque qu'on te parle
Oui moi j'infecte les confessions, toi tu te fond dans le décor
Moi j'ai honte de moi toi tu ponces des litres

Ca va j'ai beau être confus toi t'es qu'un con de plus

Ouais mais toi tu passes du stick au rolls
Et tu aimes les petites écolières
Ouais mais je reste clair pas toi t'es plus net
D'accord mais je reste honnete et toi tu mythonne

Ta gueule c'est même pas mes pulsions
C'est les tiennes
C'est vrai avant je faisais ça par plaisir
Mais j'avais encore des caleciff athéna

Toi tu veux être bénèvole d'afrique
Moi j'aimerai y faire des génocides
Mais t'es horrible moi je suis si doux
J'aime juste le sadisme, toi t'aime même les arabes

Ouais mais c'est mon contenue pas comme ta déviance
Viens que je montre un grain de ma démence
Chut j'aime pas ta méfiance, ni ce que tu démontre
Au moins je suis mentalement sain toi t'es instable

Une vrai sous merde, tout pour le capital
NON JAIME PAS QUE CA , J'aime les consciences piteuses
Les verges de douze ans, les concessions d'hepatite
Les hypothèses de complot sur le gouvernement

Les traces de sang en guerre
MAIS TAIT TOI
Retourne dans mes cent dix cadenas
Et je remet ma sourdine soudée

PAs la peine de te sonder
Plus jamais je t'entendrai dans mes songes
Je t'enterre sans déconner
Retourne avec mr sandman

Même les samedi soir
Ca me dit pas, d'avoir une énième discussion avec toi
Pense même pas aux fissions de mon esprit
Ouje m'imbiberai d'essence, dès que tu ressurgira
Non je n'hésiterai pas
Et encore je reste décent
Mais je veux plus te voir, et faire du yoga
Me susurre plus les idées d'Hitler que t'as là

Si le mafuba existerait je l'aurai fais sur toi
Yami yugi retourne dans mon noyeau et n'en sors pas
Je t'ai enfin scellé dans ma sorcellerie
Maintenant reste muet dans ta sourcillière
S'il te plaît laisse moi au commande de ce corps pour le reste de ma vie

Tu m'as déja assez fait chier avec tes vision d'outrance
Ta radicale connerie, m'a deja mise en trance
Avant tu pouvais me parler
Maintenant c'est bon je viens de t'enterrer

J'sors du lit c'est sérieux
Sordide comme un serre fil
Qui affiche un sourire
En sortant de prison

Ça te fait rigoler
Mais je t'assure que ça arrive
Comme un mec hallal qui se fait
Sauter en pleine ville

J'te rassure c'est rien
J'ai vu le Sahara et des endroits
Ou soral aurait passer la serpillière
Et accueillis des syriens

Il aurait même chanter les sardines
De patrick sebatien

Sans même calculer la claque qui a prise
Alors je t'inculque au culot, ce que j'ai appris
Tu calque ça sous mon emprise, mon vacarme te fais pleurer
Sale inculte voilà la puissance de l'orichalque

Mais ou est donc mon ricard ?
Prend une te-tar et tu cale si
T'es pas dans une calanque
Ou au lac, avoue qu'on parle d'une calotte

Et oublie pas tes clés sur le coup
J'crosi que la moule de toute a l'heure
Elle avait pas que ses main sur tes couilles
J'repense à la loupe ah bah oui elle te les as chouraves

Ouais, j'aurai du être plus cool dans ma gestuelle de groupe
Car des bougnoules en foule viennent avec une putain de bonne prod
Mais je colle ils sont la pour faire du sale
Sur une houle de couplet un peu rock n roll

MAis j'ai pas louper mon blabla qui blame
Ils se sont mis au tableau, j'ai pris ma bible de rime
Et j'ai passer un coup de balai sur la table
Tel un blaireaux qui va au bal en tenue de pablo

J'ai siffler mon blé et péter un câble
Envie de sauter d'un immeuble mais ça serait pas une fable
Et j'accable ceux qui se réjouissent d'une falbala
C'est pas suffisant pour se rasasier

Alors je travaille d'arrache pied
Pour faire mieux sur le gratte papier
Ah, ça se gate pour le meuble d'a coté
Vite t'as 5 secondes pour me chercher un saladier

Un sale stifler qui à très soif
Et qui te soutire ta petite sœur
Et qui trace ça en tissant ce récit
Je je tire sûr, si tu penses que j'débute

Aller j'reprend des codes rasta
Quand tout sera fini, ou j'appuirai sur reset
Avant de sortir à cote de mes organes en siphon
Donc mélange pas les serviettes les torchons

Alors vois moi comme un tsar de Russie tchétchène

Bon j'sais pas si j'm'arrete là
J'titube mais bon
J'fissure le sons
J'dénonce les cons
Et j'suis contracté

Forcé de constater
Quand je fixais mes tarrots ces cons s'tataient
Contempler, la verge d'une vierge consentente
Qu'on s'entende j'compte pas rester constant

J'dirai que je suis existant, je jour ou je serai excitant
J'irai jamais au casse pipe, je suis constituer de trop de casses têtes
J'crache mes textes, et j'écrase la verte dans le grinder
J'éclate mon pet, et j'étale ma culture

Ca pullule C'est crade, l'insanité
Les brulures d'estomac, dans ma cavité
Des scrupules j'ai aç, c'est ça lidée
Le surplus de pétard m'a paralyser

Mais je me culbute le soir, c'est une calamité
A en entendre des murmures, c'est la malsainité
J'ai mal aux samples quand j'entend ces guguss poser
Ca se cumule, dans le cursus
Des labels d'cité

Alors j'lutte dur c'est vrai quand je buche mon buble
Pour un tumulte, je structure mon vocabulaire
J'évacue un surplus, si t'as cru que je fabule
Ecoute ma rupture, de mucus quand j'ai la pateuse

C'est flagrant que j'acumulle les historiques de hentai avec des succubes
Mais laisser moi la luxure, j'assure ce truc, je regarde en vost pour la culture
Si ya des turluttes dans ce film c'est pour le cote musical
Et c'est ma coutume, de voir des vulves censurées

Sans sureté j'continue dans les bails porno
Ça fera des vues, sur les autres continents
Les bévus des culs, elle la séssu c'est sec
Et sa saucisse c'est mis à baver, avoue c'etait obvious

Sinon tu cesse quand de ricaner betement
T'es six pieds sous terres a cause du ricard, lentement
J'téchan, mais avoue que je gère grave le grabuge
Même capuché, j'vais calciner ce brave beat

Le cyanure de ces gars, La synthèse de mes idées
Sur une scénette, pousser une pareille sonnante
Assonante, d'un honnête homo sapiens, sacrément sonné
Qui crame ce son même sur cinquante minutes

Un trop plein et c'est la cuvette des chiottes
Un coma à la buvette des ch'tis
Verse le civet de cerf, c'est le rap gaiement
La puberté qui te lessive les cernes

Si le rap game est la lumière je viens fermer les stores
Et j'm'efforce de casses le lustre
Je t'illustre mes dédicaces avec hystérie
C'est fermement de l'échec de rimes

Je le répète avec une caisse clair c'est dit
Joli roux péra qui accès aux clito de ces dames
Au micro un démon, pose une angelure au rap de demain
Comme deux minutes, de nusky qui riposte l'audimat
Le lendemain tu téma
Laidement, ta pétasse
Les diamands, le cket ra
Mais c'et bon j'ai cé-ca
Sous féca et tres tard
Sativa et pétard
Estival et fêtard
Les septs vents, la stévia
Les enfants, la betterave
Les feuilles, les esquades
Les bons sampls, ça kick grave
Les simples cons, ça rage quit

L'herbage et la fischer
C'est très grave c'est fichu
Prend l'affiche, ai l'air brave
Pas les retards et l'air fâché

J'reste caché, comme un fichier
Fais chier, fallait pas bavé sur le refré
Fallait pas s'faire chier sur un refrain
Ca freine certains fauchés d'acheter la fresh

Aller on s'en fiche, on veut juste s'empifrer
S'envivrer, avec les bonnes chattes, du bon matos
S'déchirer, avec les bonnes bates, les bons potos
Les barres dans les garres sur les vieux prolos

J'lance la prolongation, sur l'beat agoissé
J'pense quand j'etais gosse, ma montre a gousset
Aux belles fondations, Aux belles tentations
Aux cellules de la nations, aux freres déjantés

Et c'est méchant mais, c'est vrai
Eté ou pas on cherche les coups d'soleils
Emeché ou pas qui textes des connes pour d'loseilles
L'air hébeté tu trouves pas l'sommeil alors tu roulesun join d'seum

Seul ou mal accompagné, Shit ou herbe de mauvaise qualité
Si t'es scred tu touche moins cher le 10g
Agité, t'as mais penser à faire pousser les tiges
Même si y'as litige le compromis s'intaure des les six litres de bières

Et dix sticks de zeb, ou les ptits shmits les clebs
Les blingbling de tess, les bycicles de tieks
Les limites de prêts, des vyniles des vrais
De vivre vite du blé, des vinkings des rois
Des mimiques des aisés, des ptits bitch baisés
Des civil des guerres, de la literie, biaisés
Des ptits fixes d'heros, une lammelle de turie au hainé
Démonte sur le quivive, des femelles abusées

Mais ils s'sniquent
Les bons jours
Des cons roulent dans la tempête
J'en ai vu qui contourne la dalle
Depuis qu'ils sont tout ptits

Le cynisme complexe, du contour d'camel
De philippe mon père, de catherine ma mère
Léo le frangin qui m'aide a garder mes repères
Des tartes que j'ai pris
Des liasses que j'ai eue
Aux amis fiables que j'ai
Des cracks que j'ai dis
Aux niack's que j'ai fumer
Aux femmes que j'ai niquer
Au texte que j'écrit
C'est dur j'le dis
21 piges, alcoolique pessimiste
J'ai même plus l'envie de vivre
Enfin si, mais c'est trop dur de l'dire
J'ai ptetre une tumeur, mais j'men fous
J'ai pas l'humeur de chialer
Enfin si mais plutot de m'aracher
M'accabler, de l'existence de l'humain
Mais je m'accaparer du cul de joint
Et en rouler un autre on ma dit keep going
Quand ça marche bien, Alors affole toi sur te texte
Pendant qu'une folle me pépom la verge

Sans faire semblant
J'ai ken quelque fois
Quelques connes quelques foufs
Mais j'ai fais le fou pour me la faire
Quand j'avais niquer j'avais qu'une chose en tête
Qu'est ce que j'ai fais, je sais pas comment font ces gens
Faire l'céfran de base, semblant d'être franc
Pour niquer quelques belles blanches
Des sales grosses ou des planches
Avec une capote étanche
C'est étrange mais t'as joui sur sa frange
Et tu parles que le respect est mort
J'pense qu'il a jamais exister
Jme devance il a du s'exiler
Pour revenir avec du gasoil
Ou 5 cartes en main ça sera exodia

J'te parle pas de fraude fiscale
J'balargue ça : ya des hauts des bas
Arrache toi, avec tes soss et tes braves
Avant que ça soit, la mort de tes bros

Téma ce squale s'avance sans skeud
Posé dans le square avec des escort girls
Bisque bisque rage
Moi c'est plus disque vice et ganja
Quitte a brusquer tel un astèque en teknival
C'est l'festival, laisse mes frêres humer
C't'humeur, qui viens de la verte qui cale
C'est vertical, comme le verre d'un buveur
D'un sculpteur de léxical
D'une tumeur des syllabes
D'une guitare d'un fugueur
Je lasse mes baskets
Pendant que tu te fist des pastèques
C'est ma thématique, ma teille ma weed
Elle m'a mater la trique tout ça c'est mathématique
J'te ferai pas de schématiques, même si c'est pas très pratique
Je mange un steack un stick
Et c'est systématique
Ouais Le système m'habite
Mais je vais vice re la petite
Et l'evisserer
Aucune avidité, j'préfère me fragiliser le front
M'alchimiser le foie avec gracilité
Aucune limpidité dans ma voix, j'suis galvaniser dans ma stase
Des bouchons de bouteilles que j'ai toucher
Des bouffonnes à couette que j'au doucher de mon sperme
Des litres de bieres que je me suis administrer, hier soir
Aucune Habilité, donc je parle sans rapidité, dans mon flow
Dans le fond c'est la facilité, vivre dans son zoo
Vivre sans stabilité
Dans la passivité, Boire fumer se martyriser
Mais j'ai assimiler, que s'alpiniser
C'est sale tu verra même des fois ton ego y participer
T'aura beau anticiper,tout ça t'y arrivera aps trop de massivité
Dans ma voix, j'compte pas statistiquer tout ça
Mais s'aspiriner le foie, et vivre en captivité
Ne te donnera aucune Capacité, j'viens pas d'la cité
Mais j'vais satiriser et classicisé
Ceux qui parle d'affinité et de laîcité
J'vais les atomiser
Dans l'aridité
C'est de la practicité, que ce texte soit validé
Par ma tacticité ou ma débilité