Dice la canción

Atunes y ballenas de Andrés Calamaro

album

Volumen 11

2 de diciembre de 2016

Significado de Atunes y ballenas

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La letra de la canción "Atunes y ballenas" del artista Andrés Calamaro es extensa y contiene una gran variedad de temas y metáforas. A lo largo de la canción, el artista explora temas como el amor, la ambición, la crítica social y la reflexión personal.

Calamaro comienza hablando sobre la vida como si fuera un espectáculo, haciendo referencia al "Truman Show", donde todo parece estar predestinado y controlado. A través de metáforas como la caída de carne del cielo, sonríe forzadamente y hace referencia a valores y gramática que parecen ser sus preocupaciones.

La canción presenta una visión crítica de la sociedad actual, con referencias a temas como el desempleo, los periodistas desinformando, las élites satanistas y la manipulación de masas. También se observa un tono irónico al mencionar a figuras políticas controvertidas.

El tema principal que parece resonar a lo largo de la canción es la crueldad del mundo y las luchas internas del individuo por mantenerse fiel a sus valores mientras navega por un entorno complejo y hostil. Calamaro aborda temas existenciales con una perspectiva aguda e introspectiva.

En cuanto a comparaciones con otras obras del artista, "Atunes y ballenas" muestra la habilidad única de Calamaro para combinar letras poéticas con críticas sociales inteligentes en un estilo musical muy personal que se mezcla entre el rock y el pop rock.

En resumen, Andrés Calamaro nos entrega una canción profunda e intensa que invita a reflexionar sobre nuestra realidad contemporánea desde diversos ángulos. Su estilo lírico característico brilla en esta pieza musical compleja y rica en significados ocultos. Es una obra que demuestra su talento como compositor e intérprete comprometido con expresar su visión única del mundo que lo rodea.

Interpretación del significado de la letra realizada con IA.

Ouais, ma vie, c'est le Truman Show, la came tombe du ciel sur la scène
Sourire coincé à la selle, je parle pas, on me fait tout à l’œil
J'viens en retard comme si j'tais à l'heure, j'pardonne pas comme si j'ai des valeurs
Grammaire sur ma liste de malheur, ta grand-mère qui valide le 20 heures
Mais cette vie est belle, je le sais, comme millions euros de recettes
Comme des tourtereaux sur la branche, avant qu'le chômage ne fasse qu'elle ne cède
J'sais qu'il faut du blé pour les t'nir ou attendre la prochaine manche
Non, j'vais pas pleurer devant c'film, j'sais qu'c'est pêcher d’être sensible
La peur nous pousse comme des infirmes, trop d'journalistes qui désinforment
Salle de prière désemplie, tous occupés à monter des empires
Avant que j'me désintègre, j'vais m'trouver, j'vais faire la paix
Après, j'vais rouler un teh et fusionner avec le canapé
Ouais, bien sûr que j'ai tout prévu, c'est l'chemin qui compte, pas la fin qui prévaut
Gros, les potos avant les putes, j'vais sauver les hommes avant les veaux
J'vais sauver les miens avant les vôtres, gros, sinon, c'est pas la peine
Mais sauver les siens avant les autres, gros, c'est l'programme des Le Pen
Ouais, populace manipulée, au profit de qui ? Ce n'est pas stipulé
Orphelins violés, désarticulés, les loisirs de la haute sont particuliers
Viens voir la vie qu'on peut pas diffuser, t'sais ? Celle qu'est acidulée
Là où le shit et le SMIC, c'est le max', au-d'ssus, l'esclave serait moins stimulé
Ouais, je sais comment ça se passe, un joint, comment ça se tasse
Une tchoin, comment ça se masse, un cul, comment ça se casse
Donc je sais pourquoi elle veut qu'je repasse, pourquoi elle veut qu'on l'refasse
Pourquoi elle veut qu'on ressasse (quoi), même une minute dans le sas
Ouais, le sexe et l'argent, ça fait tout, j'ai les deux et pourtant, ça fait rien
Ne respire pas mon air, ça m'étouffe, j'veux être libre, le reste, j'm'en bats les reins
Ouais, j'veux être ivre, demain ne compte pas, pourquoi la vie devrait être un combat ?
Hein ? Gros, j'esquive l'œil et l'compas, ainsi qu'les soldats qu'la machine dompta
Ouais, j'conjugue au passé simple, passe-moi l'feu, la lumière va s'éteindre
J'tendrai jamais la patte à ces chiens, pour l'moment, on s'en sort assez bien
Verre à moutarde rempli d'eau, j'prends la pilule rouge comme un antibio'
Je vais m'asseoir en lotus au Tibet et me coiffer comme les reufs en chimio'
Les élites sont des satanistes, de sombres sorciers maîtrisant la magie
Les créateurs et gardiens d'la matrice, à chaque poste de pouvoir, quelqu'un d'la famille
C'est bon pour l'bénéf' si c'est la panique, c'est bon pour l'bénéf' si c'est la famine
C'est bon pour l'bénéf' de ruiner l'Afrique, c'est bon pour l'bénéf' d'asservir l'Asie
Ouais, ce monde est cruel à souhait, les mentalités sont baisées as fuck
J'vais nous venger, les baiser I swear, même si le mal par le mal, c'est pas top
Ou bien j'oublie tout et j'ouvre mon laptop, j'fais navig' privée, je fais "gangbang hardcore"
Là, j'me branle à mort en attendant la mort, devant l'amour de ceux qui n'font qu'un corps

Ce monde est cruel, ce monde est cruel
Ce monde est cruel, ce monde est cruel
Ce monde est cruel

Que braquer non-stop (braquer non-stop), que braquer non-stop (braquer non-stop)
Que braquer non-stop (non-stop, non-stop), que braquer non-stop (non-stop, non-stop)
Motherfuck, j'suis dans l'top, que niquer des daronnes
Kool Shen, JoeyStarr, fuck jouer les stars
Que braquer non-stop (braquer non-stop), que braquer non-stop (braquer non-stop)
Que braquer non-stop (non-stop, non-stop), que braquer non-stop (non-stop, non-stop)
Motherfuck, j'suis dans l'top (motherfuck, j'suis dans le top), que niquer des daronnes
Kool Shen, JoeyStarr, fuck jouer les stars
Fuck jouer les stars (hey hey hey hey), y'a pas qu'moi sur l'estrade (nan nan nan nan)
Suikon fait les backs (Suik'on fait les backs), bientôt la mixtape (bientôt la mixtape)
Motherfuck, motherfuck, motherfuck, motherfuck
On remplit des stades (okay), fuck, j'en veux encore
La chatte, je m'en moque (la chatte, je m'en moque), motherfuck, j'suis dans l'top (motherfuck, j'suis dans l'top)
J'ai refait des stocks, okay (okay), on r'vient sur les squats (hin hin hin hin)
Turn up, une entorse (aïe aïe aïe aïe), un grand pied dans le torse (aïe aïe aïe aïe)
Tout ken, j'fais en sorte (tout ken, tout ken), fuck, j'arrive en force (fuck, j'arrive en force)
Conso' dans les socks (conso' dans les socks), mon seul médoc' (mon seul ouh)
Fuck l'avis du doc' (fuck l'avis du doc'), plus de flow qu'aux docks
Motherfuck, j'suis instable mais j'te tape même pas sur Insta'
Motherfuck, je m'installe (hey hey hey hey), motherfuck, j'suis dans l'top (motherfuck)
Que braquer non-stop (braquer non-stop), que braquer non-stop (braquer non-stop)
Que braquer non-stop (non-stop, non-stop), que braquer non-stop (non-stop, non-stop)
Motherfuck, j'suis dans l'top (motherfuck, j'suis dans l'top), que niquer des daronnes (oye, oye, oye)
Kool Shen, JoeyStarr (hey hey hey hey), fuck jouer les stars (hey hey hey hey)

Bénéfice, gang-gang, bénéfice
Première pensée : toujours primitive ; générer du bif', c'est pas difficile
Jour de paie, danse comme Billie Jean, hey, hey, plaisir illicite
Timide, j'deviens émotif, j'regarde le ciel, ses motifs, hey
À chaque instant c'est possible, mais à chaque instant, l'emoji pleure
Que d'la violence sur l'moniteur, ça touche les gosses comme les moniteurs
L'argent, ça démolit l'cœur ; quand ça manque, ça démolit l'cul
Suce pas pour plus de pécules, chie pas dans mes bottes, y'a plus de PQ, merde
Primitif, putain c'que j'suis primitif
Mort-vivant comme Lady Di, j'vais faire l'milliard, comme P. Diddy
Y'a qu'les nuages qui limitent, j'fais gaffe, y'a des gosses qui m'imitent
Enfoiré, t'es si fini, tu mérites la syphilis
Parle pas d'maléfice lorsque t'as merdé, lorsque l'mal est fait
Wesh le tavernier, j'vais prendre la Leffe jusqu'à m'flinguer la vessie
Arrêtez les larmes, c'est pathétique, arrêtez d'vivre dans une tragédie
Visez autre chose que les Assedics avec la conso' dans les Atemi
J'doggin' synthétique pute en jogging synthétique, ouais
Produit synthétique, faux cils synthétiques, tout de synthétique sauf mon profil atypique
Qu'importe le cas, je suis pacifique, suis-je le seul érudit du carré VIP ?
J'vois des rubis quand on s'affilie et le continent Mu dans l'Pacifique, wow
Ton cavu tourne comme un handspinner, j'écris mon destin sans ghostwriter
Ça bouchonne au drive quand la dope circule, je crache la fumée, ça fait des crop circles (ouh, ouh)
C'est quoi, c'monde qu'on laisse à nos p'tites sœurs ? Une grosse bite sur un Post-It
Et détournements d'fonds dans les gros titres ? Nan
J'suis d'la nouvelle civilisation, tu vas finir à la rue, c'est la meilleure intimidation
T'en oublierais ton élévation mais fuck cette merde, je vais bosser sec bien avant mes trente-sept piges
Je sois proche des maîtres avec une Breitling, je n'répète que la prophétie
Primitif, j'suis encore trop primitif
Sur tes amigos, j'pisse comme un vrai parigot
Vodka-Paquito pour pas niquer ces clowns échappés du chapiteau
Glober des yeux comme Stabilo, ça gobe des queues comme Haribo
J'maîtrise la chimie ainsi qu'l'alchimie, j'suis dans l'sashimi
Suffit qu'je pense à ta minch et ça y est, vers moi ta minch achemine
J'tacle à la gorge, pas à la cheville, j'retourne ni ma veste ni ma chemise
J'peux pas lâcher tant qu'j'suis pas che-ri, je cours après l'temps, je marche vite (wow)
J'veux m'envoler, là, je vibre bas, je n'en veux à personne, c'est moi qui m'retarde
Soit je fais l'million et j'me tire de là, soit c'est la CIA qui me criblera
J'écris ce rap comme un cri de rage, ça sent la guerre dès la prise de voix
D't'façon, même quand j'veux donner d'l'amour, elle est prise de spasmes (spasmes, spasmes)

J'aimerais tant faire la paix avec toi, avec moi
Ouais mais nan, ma bête noire me laisse pas assez d'espace
Je suis toi, tu es moi, je sors même de ta mère
On sort de la même merde et pourtant, tu m'agresses
J'vais t'faire fondre la graisse, je vais found ton adresse
Te montrer mon adresse quand je chante la messe
On dira dans la presse que c'est à cause de la hess
Qu'on était des sauvages, des otages du naufrage
Des ados sans repère, des adultes trop amers
On m'adule, c'est la fête, j'les insulte, c'est la merde
On m'a pris pour un clown, on m'a pris pour un fou
Pour info' : j'fais des sous plus que toi, ma nympho
Licence de maths-info m'sert à rien, je travaille pas
J'reste tranquille, je racaille pas, j'reste sous l'drap, comme KKK
Quand j'me lève, j'veux les uer-t, j'veux les ken dans la ruelle
Fuck un duel, j'vais leur chier d'ssus comme une mouette
J'vais les shlasser au Moët, exploser sur le bar, j'tire une barre
Et souris, j'ai l'cœur noir et pourri, j'aime le soir
Y'a moins d'monde, y'a ma beuh, y'a ma blonde, y'a ma queue
Y'a ma blonde, c'est Vald qu'a la bombe, bom-bom-bomb
Bah voyons, t'as pas d'chance : t'es pas beau, t'as pas d'argent
T'es en chien, t'es navrant, donc t'agis comme fils de pute
J'espère que tu pries Jésus quand l'maton te brise le cul
Sur ta tombe, je pisse dessus, croque-mort demande qui es-tu
J'ai le seum, j'apprends à l'assouvir, commence vite
À courir, à ton s'cours, personne va accourir
J'aimerais tant faire la paix avec toi, avec moi
Ouais mais nan, ma bête noire me laisse pas assez d'espace
Je suis toi, tu es moi, je sors même de ta mère
On sort de la même merde et, pourtant, tu m'agresses
J'vais t'faire fondre la graisse, je vais found ton adresse
Te montrer mon adresse quand je chante la messe
On dira dans la presse que c'est à cause de la hess
Qu'on était des sauvages, des otages du naufrage

Gaffez quand je suis possédé (hey), gaffez quand je suis possédé (hey)
Gaffez quand je suis possédé (hey), gaffez quand je suis possédé
Défoncé comme ODB (hey), synthèse dans l'OCB (hey)
Le mélange a opéré (hey), j'connais tous les procédés
Pas de rapport protégé (jamais), pour t'faire la fête, faut des g (wow)
Ton mélange est trop léger, tu m'as pris pour un gros pédé
Dans la rue ou au QG, le sourire est lié au budget
Le Malin vient d'me posséder ; au Moyen-Âge j's'rais au bûcher
J'fais même pas de rimes parfaites ; dans les chiottes je pisse par terre
J'te connais pas nique ta mère ; des molécules vident ma tête
J'ai r'trouvé l'spliff de la veille, j'ai r'trouvé l'string de la vieille
Ouais j'm'en rappelle, elle m'cassait les couilles, pour que j'lui brise la schnek
J'peux faire le tour de la Terre, juste là au bout de ma tige
J'ai d'quoi faire mal aux ratiches, ché-ca dans l'double de la veste
J'ai sifflé toute la 'teille, j'appelle mon frérot "mi amor"
Fais gaffe à qui t'ouvre la porte, on est venu foutre la merde
Gaffez quand je suis possédé (hey), gaffez quand je suis possédé (hey)
Gaffez quand je suis possédé (hey), gaffez quand je suis possédé
Défoncé comme ODB (hey), synthèse dans l'OCB (hey)
Le mélange a opéré (hey), j'connais tous les procédés

J'suis l'produit d'mon environnement, comme Mac Tyer
J'suis en colère si les juges environnantes n'portent pas d'tailleurs
Assis en tailleur, j'pense aux aïeux, d'ailleurs, faut mailler
J'me suis pas réincarné pour bouillave à Pattaya, Bo-Bomayé
Tu t'es soumis pour grailler, pov' gougnafier
Heureusement qu't'es pour la paix, t'es doux comme une couille rasée
J'fais ma ronde comme le renard dans le poulailler
Les tours immondes bloqueront les balles si, un jour, tu veux défourailler
Que l'amour sur les potos, que la mouille sur les photos, le cœur est noir sous les projo'
Je vois la vie comme un gothique, tous ces rappeurs anecdotiques
Le viseur est dans mon optique, aucune maîtrise du low kick
80 Zetrei, 80 Zetrei, 80 Zetrei
80 Zetrei, 80 Zetrei, 80 Zetrei
Flaques de pisse, flaques de larmes, flaques de pétrole, fais comme Vald
Vald nie, Vald s'arme, Vald déflore, et ces pétasses
Laissent des flaques sur la toile du siège baquet, saletés d'flics
Laissent des flaques quand ils frappent à la porte
Sullyvan palpe comme à la morgue, mon poing dans l'cul, comme Panacloc
Tu vas vivre le coma d'abord, pas d'commun accord
Ma, ma commune hardcore a connu la mort
Ma voix dans l'modulateur, ma bite dans coquine à fleur de peau
Mon blaze sur Akinator, tout l'monde est là genre :
"À qui la faute ?", c'est qu'y'en a qui le font, et toi qui le f'rais
Retourne rager sur c'qu'a acquis le frère avec ton Paki de merde
Loin devant, genre des kilomètres, j'papillonne

J'arrive propre comme une saloperie, vrai comme une cachotterie
Dis pas "je t'aime" comme une calomnie
J'm'attends pas au pire, j'm'attends à être riche, genre maçonnique
Fais pas l'ouf, t'esquives pas les "ich"
J'suis dans l'four, lâchez-moi les miches
J'attire la fouffe comme chanteur R'n'B'
Si j'reste en bas, c'est une tragédie
Hey, oh, hey, oh
Si j't'ai fait du mal, j'suis déso'
Hey, oh, hey, oh
Ma bite rentre dans sa tête comme "Réseaux"
Ce monde est très très très cruel, très très très cruel

La vie a fait, la vie a fait
J'agis pour mon futur, pour mes beignets d'calamar
Quelques points d'sutures cachés sous ma carapace
Aucun suce-pute parmi mes camarades
Arrêter les cours, c'est pas une bonne idée (vraiment pas)
Tout l'monde te l'avait dit, mais t'as commis des crimes
Bim, dans sa chatte tout l'holiday
Plus violent qu'manifestants contre policiers
J'sais tellement d'trucs qu'on dirait qu'je marche broliqué
Tout c'profit fait, faudrait qu'je pense à profiter
Faut qu'j'reprenne le shit, là, j'ai bien trop d'idées
Dieu merci, j'suis né pour dominer, pas ken les chattes qui ressemblent à Grosminet
Mer apaisée que dans l'coquillage
Mère à baiser donc pas l'temps pour l'copinage
J'ai trop bédave, là, j'ressemble à Gorillaz
Message de Nikita du compte official
J'passe le relais, j'dis à mon fils de pas pleurer
Regarder l'Sheitan œuvrer, d'apprendre à manœuvrer
Quand je râle, il m'dégaine la grimace de la levrette
Plus caille-ra qu'un pirate de Gare de l'Est
J'inhale que d'la beu-her, j'débarque en Guadeloupe, timal c'est moi l'gwer'
Fuck Lignac, j'ai la recette, comme AK-4-7, j'suis génial même à l'Ouest
J'me connais bien, j'suis pas un psychopathe
C'est eux qui vont tuer des gens pour ceux qu'ils idolâtrent
Prétentieux comme Nicolas, grosse haleine, pas d'Ricola
J'écoute quand son clito' parle, c'est jamais d'la rigolade
Hey, j'me connais bien, j'suis pas un psychopathe
C'est eux qui vont tuer des gens pour ceux qu'ils idolâtrent
Prétentieux comme Nicolas, grosse haleine, pas d'Ricola
J'écoute quand son clito' parle, c'est jamais d'la rigolade
C'est jamais d'la rigolade, c'est pas des lol sur Skyrock

J’recherche un permis port d’arme
Pour pouvoir continuer d’être V.A.L.D. hors cam'
J’ai la fève et l’orgasme, c’est la fête et j’cause pas
J’ôte ma délabrée d’basket et je Drogba tes ratiches
Poto, c’est l’affiche d’être à mi-ch’min
D’me mâcher la pine pour gratter ma pouche
Pour rapper, ma bouche fait des bruits d’seins qui s’entrechoquent
Et j’échoue jamais si la choupinette m’a trouvé chou
Souvent, j’retrouve des shootes échoués sous mes shoes
Jouer les troubadours n’est pas dans mes souhaits, je fous que des coups
Oui, je dickslap, dickslap, j’fais gaffe à c’qui s’trame
Juste derrière mon Eastpak, rejoins-moi ou l'Islam
C’est vrai qu’éméché j’ai péché mais j'ai jamais prêché sur les quais du TGV, c’est ça d’moins sur mon CV
V.A.L.D.T.C aka L’PCP en DDP, le pet précédé d’un wack MC décédé
Décidément, j’ai la pêche comme ma pression préférée
Pour flamber ta paie, nique la dépression, j’ai la
Tête à l’envers, sa schneck à l'envers, le haut vers le bas
Je veux faire d’l’euro tout en restant fier de moi
Exactement, triche aux exams, j’ai jamais pris d’ecsta', j’ai peur que ça m’plaise, ça
Bestial comme ta saloperie de caisse braquée
C’est fou c’que l’homme peut faire pour s’acheter un G-Star, n’est-ce pas ?
Sullyvan surine à vue, oui, j’urine aussi sur ton posse
Nique la survie de ta musique (de ta musique)
NQNT, t’es plus, t’es dead, j’t’ai vu lécher pour un écu, c’est gay
J’ai plus d’respect pour la
Oui, j’pénètre tout c’qui bouge, louche c’qu’on trouve
Derrière des bouts d’tissus : des gens qui souffrent, des jambes qui s’ouvrent avec des grandes pilules
J’remplis tout, j’fais d’mon mieux, mieux, c’est mieux que bien et l’bien, hé bien, le bien n’existe que peu
J’pige le jeu, je trime, je veux être riche gueux
Mon style fait la dif’, qu’il arrondisse mes fins d’mois, ce p'tit fils de (fils de)

J'suis dans la street comme dans galeries
Monstre dans ton cavu, non, c'est pas Halloween
Fonce hors du battlefield, plonge pas dans relation platonique
Non, non, ne saoûle pas le Diss, ronge-moi les calories
Weed et synthèses pour mon catering
Ça fait des mois qu'je n’ai pas de rimes
Non, j’devrais pas le dire, ton Dieu va m'mettre des baffes vengeresses
Mais, nique sa mère, il n’est pas là, même quand je reste
Demande au Ciel la recette pour faire tant de pèze
La recette pour faire jouir sans même un "je t'aime"
C'est malheureux, j'suis jamais l'même à part quand je baise
J’suis malheureux, je sais qu’elle m’aime même quand je tej
J'assure l’spectacle comme Walt Disney ou la Blanche Neige
J’espère l'O.D. ou l'million avant d’être trentenaire
Ton crew : c'est des p'tites putes et des grandes merdes
J’veux plus vous voir, j’vais m'recueillir devant champ de zeb
Salope, tu pars sans repères ; salope, tu parles sans le faire
Salope, tu masques ton reflet ; salope, tu casses ton re-frè
Salope, pour toi, c'est l'enfer ; salope, cette fois, c'est la der'
Salope, pour toi, trop de traits ; salope, pour toi, pas de trêve
Salope, c'est l'heure du hlib et j'suis pour l'amour
J'ai neuf pussy, pas neuf fusils qui me font la cour
"Quoi d'neuf Sully ?" a.k.a. la mort subite
La morsure digne d'un piranha, destin sublime comme Rihanna
En une seule rime, je peux t'irradier
Mon gros, j'urine sur le pied-zer du brigadier
Moi, j'suis gentil, faut pas diffamer, sinon, ton trou d'balle, on peut dilater
Mon cœur s'fait pas pirater, on n'arrête pas frère, on continue avec moins d'amis

J'suis là dans la foule, jamais sans amour
Comme j'ai plus d'un tour, toutes ces putains courent
Tellement d'flow alors que j'ai juste bu un coup
J'bé-flam trop, j'dépose que du violet sur un boule
J'bé-flam trop, j'ai le démon, j'en prends trop, j'fais deux tées-mon
En même temps, j'suis dans deux des mondes, la tête entre deux tétons
Toujours un œil sur les comptes, toujours une main sur les couilles
Les vrais res-frès, on les compte et les autres comptent mes couilles
Plus de selfie, plus de temps, j'peux pas rouiller sur le banc
Quand j'sais pas, j'dis "sûrement", donc ton Macron sûr ment
T'es comme Van Damme sur le ring, tu fais l'grand écart sur demande
J'aime ça, que tu sois soumis, j'aime ça, qu'tu sois sur le ventre
Plus de sourires, plus de ventes, plus de groupies, plus de champ'
Plus de goupilles, plus de tanks, plus de roupies, plus de sang
J'en veux pas trop, justement, tu peux m'sucer juste le gland
Instinctivement, j'brûle le chanvre, ça étouffe les hurlements
Des experts en magie noire essaient d'arrêter mes balles
J'trouve tout à O'Parinor, nique sa mère Châtelet-Les Halles
Gros, j'ai péta ton briquet pour ter-cla un céréale
Si ta vie est compliquée, c'est qu'une putain cérébrale
Nique sa grand-mère le score, tant qu'j'fais plus, ça m'est égal
Nique sa grand-mère le sport, tant qu'j'les baise et qu'j'les régale
Nique ta grand-mère de force si tu jactes comme une pédale
Jamais l'bon nombre de pétales, toujours l'bon nombre de pétards

J'ai dit : "J'vais faire du rap", j'étais un baisé dans ma tête
V.A.L.D comme un gramme de MD dans la fête
Jamais j'me casse les couilles, j'mange même le poisson sans arête
On a les mains sales ainsi que les doigts dans la schnek
J'suis pas monocentré, j'aime le shit et la weed
Belek à ton dessin, sorti d'Pictionary
J'ai d'nouveaux habits et plein d'nouveaux amis
Donc j'fais un nouveau pli, j'ai pas d'nouveau hobby
J'connais d'jà l'avenir, j'l'ai vu dans l’œil du manager
Interpol nous recherche, on n'est pas braqueur amateur
Viens donc à ma table si tu flex comme un Gallagher
Dis : "Bonjour" à ma eue-qu et "adieu" à la gare
L'Histoire est écrite et se réécrit à chaque seconde
Regarde ces fils de pute, ça s'voit tout d'suite qu'j'suis pas d'ce monde
Non, j'baisse pas les yeux, j'baisse pas mon froc, j'baisse pas d'un ton
Je monte dans les tops et sur ta mère le canasson
Non, fais pas la pute, fais pas la gueule, sois pas mauvais
Fais pas... d'où tu viens, va pas t'sauver
J'sais pas si t'es malhonnête
J'entends l'Diable me talonner
J'encule le VHR ; avant l'show, j'suis ballonné
J'me branlais dans ma chambre, là, j'ai l'million d'abonnés
Même bourré au volant, Suiki m'empêche de cartonner
Ient-cli arrive de tout-par, heureusement j'sais slalomer
Regarde la kichta qu'j'envoie, sérieusement garde la monnaie
Regarde la kichta qu'j'envoie, sérieusement garde la monnaie
J'ai pas l'temps de tous les tuer, faut qu'j’apprenne à pardonner
Passe-moi du feu que j'm'éteigne
V.A.L.D, que des beignes
Double platine, le prequel
Double platine, le prequel
No tube zone, no tube zone
No tube zone, no tube zone

Je n'suis pas un écrivain, je suis plus qu'un esprit simple
Je multiplie les p'tits pains, je n'l'appelle pas, j'sais qu'il vient
On m'appelle "V.A.L.D." ; c'rap de merde, j'l'ai allaité
J'crois qu'j'vais jamais arrêter, j'coupe la plaquette à l'épée
Plein de filtres, plein d'effets, t'as pas d'rime, pas de texte
Pas de string, même pas de fesses, pas de peace, donc pas de guerre
Si tu l'fais pas, moi, je l'fais ; si tu l'sais pas, moi, je l'sais
Comme si j'étais sorti d'H.E.C., sur l'détecteur, la chaussette
J'ai les combos, la recette, promis, j'touche pas ta sœurette
Je t'aime encore en levrette, je t'aime encore en secret
Putain, j'ai l'cœur sur la main, j'renifle les fleurs du malin
J'sens encore l'odeur du machin, j'esquive lueur du matin
Je sais très bien c'qui m'attend, elle m'dit : ''Pense à moi si t'as l'temps''
J'la vois qu'une seule fois par an comme le prime sur le Sidaction
J'ai la vue sur l'timent-bâ, je n'suis plus sentimental
Tu m'as vu sortir en bas, les poumons quasiment noirs
En route pour niquer des mères comme lundi matin, dimanche soir
M'écoute pas si tu préfères ton rap de caissier qui vend pas
NQNT péritel, Sullyvan rappe trop spirituel
Je ne ter-fri plus everyday, ç'me rend l'esprit trop étriqué
Niquez vos mères, j'vais m'délivrer ; tout cette oseille, j'l'ai mérité
J'ai disque d'or, j'ai pedigree, t'as que le mort, t'es périmé
J'peux m'arrêter mais j'continue, pour le turn-up, je contribue
Abandonne-moi, j'reconfigure, j'te laisse la chatte en confiture
J'peux m'arrêter mais j'continue, pour le turn-up, je contribue
J'ai la vue sur l'timent-bâ, je n'suis plus sentimental
Tu m'as vu sortir en bas, les poumons quasiment noirs
En route pour niquer des mères comme lundi matin, dimanche soir
M'écoute pas si tu préfères ton rap de caissier qui vend pas

De quoi tu parles ? De quoi tu parles ? Le savoir est dans l'silence
T'es à poil, t'es sans finance, t'es ma proie, t'es ma pitance
Y'a moi qui jette les billets et puis il y a toi qui danse
Y'a pas de coïncidence, ferme ta gueule c'est moi qui pense
J'comprends ton besoin d'exister, mais quand tu l'ouvres c'est moche
Comprends notre besoin d't'exciser ; ton français il fout les pétoches
Reste tranquille mains dans les poches ; tu jactes ne dis pas qu'c'est l'teush
T'es vraiment du-per, c'pas du bluff ; est-ce vraiment du sperme ou du blush ? Blush
Pour toi pas d'rédemption
J'vais t'enfler les ganglions, tout ça sans prétention
Bâtard si t'es dans l'sillon, je peux dévier d'ma mission
Toujours la même ambition depuis post-bac admission
Quand j'rappe je sais qu'j'm'abrutis ; ma bite dans ta bouche balbutie
Je l'fais pas pour les "m'as-tu dit", nan, mais pour le salaire d'Matuidi (charo)
De quoi tu parles ? De quoi tu parles ? Le savoir est dans l'silence
T'es à poil, t'es sans finance, t'es ma proie, t'es ma pitance
Y'a moi qui jette les billets et puis il y a toi qui danse
Ferme ta gueule c'est moi qui pense, y'a pas de coïncidence
De quoi tu parles ? De quoi tu parles ? Le savoir est dans l'silence
T'es à poil, t'es sans finance, t'es ma proie, t'es ma pitance
Y'a moi qui jette les billets et puis il y a toi qui danse
Y'a pas de coïncidence, ferme ta grande gueule

Tout c'que j'aime dans la vie, c'est baiser et fumer du shit
Fumer du shit, fumer du shit, fumer du shit
Tout c'que j'aime dans la vie, c'est baiser et fumer du shit
Fumer du shit

Tout c'que j'aime dans la vie, c'est baiser et fumer du shit
V.A.L.D, c'est un mystère, il faudrait que tu l'élucides
Sucer du chibre, ça peut rapporter de l'oseille, j'sirote Grey Goose
Vous, vous buvez du pif, j'viens avec un mouchoir au cas où vous saignez du pif
D't'façons, vous différenciez pas le Perrier du cidre
J'fais qu'm'entraîner ici, j'fais qu'm'entraîner ici
J'ouvre la f'nêtre, je n'fais que humer du vice
Je jette ma clé USB dans les chiottes pour buter Lucy, l'amour est mort
Ouais, ferme ta gueule, arrête de t'prendre pour une érudit, tu es stupide
Leur vision est trop étroite, est-c'que t'as vu mes pupilles ? Eh
J'pense à tout l'monde, j'ai l'cœur ge-lar, ouais
J'mets pas de Margiela nan ; platine, j'vais marger là, ouais
Je suis où personne n'a marché, là
J'ai qu'à t'voir, je dis : "Nah sheitan", faut pas qu'j'boive, j'vais faire le sheitan
Toujours dans l'vrai quand j'dis : "Ah, j'sais pas"
Nuage de teh quand j'dis : "Lâchez-moi"
J'ai envie d'zeb, je rentre chez toi

Ce monde est vraiment très cruel, ah c'est vraiment cruel
Ce monde est cruel, vraiment très cruel

Tu ne sais plus ce qui t'arrive, tu la joues lascive, mais la flamme je ravive
Je suis ton cadeau, la vie, ton anniv', j'pourrais te faire rire comme une ado
Je crois en l'avenir, le passé pas trop, le passé pas drôle
Le pas, c'est pas ma cadence, salope, je galope, je provoque avalanche
Tu croyais pouvoir me tester ? Ah bah nan, je suis dans cette pute comme Kanye dans Kardashian
J'lui mets les menottes, j'suis attachant, je sors les quenottes, j'suis pas patient
Je suis le médecin, j'suis pas patient, elle me bouffe le fruit de la passion
Elle me touche, je m'enfuis d'un pas sûr en pantoufles, je suis dans l'patio
Tu pourras pas suivre sans cardio, j'écris des images comme sur les murs de Lascaux
Leur vision est trop étroite, dans la vie, j'ai trempé l'doigt
Au Grand Journal en Trump et toi ? La tronche est pâle, la trompe est moite
Trophée, trophée
J'leurs mets des crochets, V comme rocher sur la canette
J'ai des projets pour la planète, j'vais t'embrocher sur ma baguette
J'taffe comme chinois pour m'rapprocher de la stargate
J'donne le hoquet lorsque j'allaite, je suis opé, tu es charrette
Quand tu commences, on t'dit : "arrête"
D'vant une barette, j'ai plus d'force, d'vant la malette, j'veux plus d'or
Laisse-moi tranquille Merkus mord, cherche pas d'problèmes, c'est juste mort
V.A.L.D. Jedusor, quand tu parles, tu t'fais du tort
Dans ton corps, on fait du sport, tu fermes ta gueule et tu sors
Dans les airs, que des spores, fers en l'air de l'escorte
Dans les airs, verre en l'air, on s'efforce en pleine forme
Trophée, trophée, j'en ai trop fait
Certains sont v'nu pour une durée provisoire, pour s'faire baiser dans l'fumoir
Leurs éthiques sont trop bizarres, t'es pas très sûr, j'suis official
J'peux te shlasser au visage pour mettre sourire sur ton minoi
Je travaille ceinture d'explosifs, pas ceinture abdominale
Je cherche à être pas à avoir, ta mère et ta grand-mère à la fois
Mes lyrics ne sont pas rasoirs par hasard
Vicieux comme Salazar dans Resident Evil
Mathafack, j'prends d'l'assurance comme calvitie d'résident sénile
Trophée

J'veux pas faire partie d'la jetset, j'coupe ma Sobies' au Get 27 à la limite
Mais c'est cadavérique, cette ambiance de pète sec, j'suis comme, j'suis comme paralysé
Le sperme s'consomme comme chewing-gum et de p'tites drogues pour faire rire l'Homme
Transitent de mains en mains, plus j'côtoie l'Homme, plus je l'aime de moins en moins
Et plus on parle, et puis plus ça glisse en partouze
Qu'est c'que tu veux faire quand t'as v'là l'flouze ? On s'ennuie partout
Gros, c'est pas l'tout qu't'aies les cartouches ou les cartes, faut qu't'écrases tout ou qu'tu les écartes
J'vois ma vie comme un cartoon, mes ennemis m'attrapent jamais, j'mange des bonbons à la pelle
Lorsqu'on veut m'aider, on m'tend la main d'Jamel, pédé, passe la zeb, j'suis pas la bête de foire de Captcha Mag'
Et le monde est tellement grand, j'rassemble les éléments
J'ai l'idée, j'ai les vœux, cette bitch est vénéneuse
Je lean, et j'fais des euros, on fait vibrer tes vieux os
Ma firme est généreuse
Pas d'fausse modestie, j'manie l'crom et l'Bic comme Joe Pesci
T'obéis aux mauvais types, on cautérise nos plaies, on joue la comédie
On monétise nos vies, violètise nos vues
Nos limites, vos limites, grosse équipe, Bose et pique
Do, Ré, Mi, faut rer-ti, les questions ?
Pute, j'ai besoin d'horizon, mais ton gros cul cache la vue, j'suis noyé dans l'houblon, le réel ne m'atteint plus
J'suis dans l'truc et dans l'tur comme dans Balladur, pose ta tête sur mon armature
Ça rassure, j'fais tout pour me rassasier, si tu doutes, tu feras l'reste à pieds
Allez, bouge, laisse taffer les grands, y'a d'la mouille sur l'estafette, étrange
Intense étranglement quand j'reviens dans la Matrice, quand j'sors mon micro, y'a toujours une amatrice
Fils, roule pas tes splifs avec un amas d'terre, je plie ces amateurs, les yeux plissés vers quatre heures
Je vois les âmes à terre, leur tête inclinée, Lezarman fait sa ronde
Quand j'te prends par derrière, je vois cligner l'œil de Sauron
Tout niquer, chez nous, c'est inné, que tu l'veuilles ou non

T'es qu'un branleur, tu penses qu'à t'toucher la bite
Tu sèches les cours pour aller t'acheter des cartes à jouer Magic
T'es même pas bon dragueur, tu t'frottes sur des pneumatiques
Toujours fatigué parce que tu t'tapes des queues la nuit
Puis par principe, tu t'réveilles mais t'es tout l'temps avachi
Souvent de sept à sept, tu bailles parce que "la vie c'est pas facile"
T'attends qu'la rime t'aère l'esprit, t'espères ve-squi l'salaire d'usine
Mais t'es qu'une carcasse : des magazines de sapins dans ton cartable
Insupportable, t'sais qu't'emmerdes les gens avec ton sarcasme ?
Que j'te r'chope devant des discours de Soral et j't'envoie Pascal
C'est tout l'temps la même chose : tu fais rien mais tu t'reposes
T'abandonnes chacun d'tes jets-pro, t'attends patiemment la nécrose
Arrête les bédos, les restos, kebab, les mots sur les dos d'pétasses
Tu fais la déco, dégage, t'es bien dans l'métro, mec
Jour après jour, t'es de plus en plus mou
T'as l'impression d'être inutile et encore plus quand tu joues
Du coup, pas d’échappatoire, t'es comme une larve à l’abattoir
De la de-mer dans la mâchoire, déclare ta flamme à ta main droite
Décale, j'te f'rai pas d'cadeau si j'te rechope à bédave
Fais l'malin qui veut pé-ra, j'te nique ta race devant tes gars
D'ailleurs, d'ailleurs tes gars sont rants-ma, sont encore plus atteints qu'toi, sans blague
J'me d'mande qu'est ce qu'ils peuvent bien t'trouver, t'es bon qu'à faire les cent pas
Mais quand vas-tu prendre ta vie en main ? Rendre ta mère ravie
T'mettre à taffer au lieu d'tenter d'ressusciter Yitzhak Rabin

Je joue pas les rappeurs, j'suis vraiment un rappeur, j'ai vraiment des diamants, j'ai vraiment des haters
J'suis vraiment le amant préféré de ta sœur, j'ai vraiment le million
Depuis, j'suis vraiment plus mignon, je tire sur le pilon, j'incite tous les p'tits cons à faire comme moi
À me suivre comme Suikon ; Spielberg appuie sur les pédales, j'suis E.T. chinois sur le guidon
Viens égarer ton hymen à la maison, je sais qu'j'ai tort de boire plus que de raison
Red Bull effet n'donne des ailes, vas-y, moi aussi, j'vais louer la Tour Eiffel
J'crie "V. A. L." partout comme si j''tais DZ, elle en fout partout comme si c'était chez elle
Ça sent la mer et on dort sur des serviettes, j'fais la belle étoile, le décor est parfait
Le savoir est une arme, apprends tes leçons, devant le canon, mouille ton caleçon
Ce monde est cruel comme cet hameçon, d'laquelle t'es amoureux, pauvre garçon ? (pauvre garçon)
Me kidnappez pas, j'fais grimper la rançon
On peut doubler à chaque fin de saison, j'suis adoubé même après l'horizon
Imprévisible, sans clignotant, ma trompe partout, j'suis papillonnant, faire de l'argent, c'est passionnant
J'peux sortir d'Aulnay, je peux sillonner
Tous mes copains, j'vais les pistonner, même s'ils sont nuls, j'vais les imposer
D't'façons, tout est déjà imposable, même, des fois, l'trafic de pistolets
Je graille tout l'monde, j’ai encore la dalle, dors sur la béquille, je dors sur la cale
J'sais même pas pourquoi je bédave à balle, ça m'rend parano, j'me crois en cavale
Garde ton venin, j'préfère quand t'as mal, pourquoi ça te fait plus de bien quand t’as mal ?
Pourquoi tu fais genre c’est ta première anale ? Pourquoi tu fais genre tu connaissais pas Vald ?
AR discrets entre frontière et Paname, l'AR fifteen a du recul mais ça va
Tu m'vois tranquille et tout mais, en vrai, j'ai la rage, "euros, euros, euros" : c'est quoi cet adage ?
Ton jet-pro d'merde, c'est du rap ou du tapage ? Tu fais d'la merde comme ta s'maine de démarrage
Garde ton honneur, arrête de faire étalage, fais des donuts avec la fumée du kamas
V-A-L-D, le décès pour dérapage, V-A-L-D, le décès pour décalage
J'vis en FPS comme avec un Kalach' et en POV comme avec un Famas
J'suis trop déprimé, je vide la pharma', c'est toujours les mêmes fils de putains qui ramassent
Le savoir se perd car tout l'monde parle trop, j'ai ouvert moins de bouquins que de balle-trous

Letra traducida a Español

Traducción de la letra realizada con IA.

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