Marabout de Lacrim

Lacrim

R.I.P.R.O 2

12 de diciembre de 2015

Significado Letra Traducción

Significado de Marabout

La canción "Marabout" es interpretada por el artista Lacrim y forma parte de su álbum "R.I.P.R.O 2". Pertenece al género musical de hip hop y rap, y fue lanzada en una fecha que no se proporciona.

La letra de la canción refleja la vida cotidiana llena de desafíos y complicaciones en la que se encuentra el protagonista. Desde enfrentar situaciones de peligro en la calle hasta sentirse atrapado en un sueño ajeno, Lacrim describe un mundo lleno de incertidumbre, donde la lealtad es escasa y los riesgos son constantes. Utiliza metáforas como ser una araña que teje su red allá donde va, mostrando cómo se mueve con astucia en un entorno hostil.

En cuanto al significado, la letra de "Marabout" parece explorar temas como la traición, el crimen organizado y el camino hacia el éxito a través del trabajo duro y la determinación. Se mencionan conceptos como tener amigos incondicionales y aquellos que pueden apuñalarte por la espalda, transmitiendo un mensaje sobre las relaciones humanas basadas en intereses o lealtades superficiales. El protagonista habla también sobre construir su futuro con familia, dinero y propiedades, mientras reflexiona sobre los giros inesperados que puede tomar la vida.

En datos curiosos sobre esta canción, "Marabout" ha sido bien recibida por los seguidores del hip hop francés, destacando por su ritmo envolvente y letras cargadas de autenticidad urbana. La colaboración entre Lacrim y otros artistas francófonos ha contribuido a consolidar su presencia en la escena musical internacional.

En conclusión, "Marabout" es una canción introspectiva que revela las luchas internas y externas del protagonista mientras navega por un ambiente lleno de desafíos y decisiones difíciles. A través de sus letras honestas y directas, Lacrim logra conectarse con su audiencia transmitiendo emociones genuinas e historias impactantes sobre la vida real.

Interpretación del significado de la letra realizada con IA.

Letra de Marabout

J’ai vu mon reflet dans le miroir
J’ai mis des anciens res-frè dans le tiroir
On tourne dans la cité, on est breliqués
Que Dieu me pardonne j’ai braqué, forniqué
Liberté d’expression comme Martin Luther
Jamais devant catin tu m’verras me taire
J’suis l’équipe nationale, repos dans un sauna
Si t'es perdu, allume ton GPS, direction la Sunnah
Ils sont terrorisés, armes de l’Est
Mémorisez : j’vais tous les tuer, y’aura pas deux gestes
J’suis comme l’araignée, partout où je passe faut qu’je tisse ma toile
Police aux frontières, avec 2 kilos d’pure quand je passe la douane
J’construis mon avenir : des enfants, de l’argent, des apparts’
Tu sais mon ami dans la vie tu as les requins blancs et puis les appâts
Des fois tes amis t’mettent des couteaux dans l’dos
Tu crois p’t-être que la clé du coffre est dans mon manteau
J’vis dans un cauchemar, j’ai rêvé d’une vie qui ne m’appartient pas
Si tu ne comprends pas, j’danse sur un fil qui ne tient pas
Mon re-frè tu le sais qu’on dort bien, quand on sait que tout roule et tout rentre
On passe notre vie à tout prendre, au final on va tout rendre
Des sous, des sous, igo, tous aveuglés, on nage dans le faux
Un chargement igo, trop d’kilos, ton équipe joue aux Lego
Y’a plus d’gambino, un litron d’pure on envoie du pilon
Des sous, des sous, igo, plus d’bigo en cellule pour des mythos
J’pars à Marbella, mes gosses et ma bella
Mon fils a 5 ans, il se perd dans sa villa
Y’a la piscine, bande d’imbéciles, m’avoir c’est difficile
Allez niquez vos mères, j’suis au bord de la mer, je suis comme au Brésil

On a charbonné comme jamais
Dans le trafic ou pas on a taffé
Continue d’voir l’marabout
Ou d’lire dans les marcs de café
Sur moi j’ai la graine de café
T’es mauvais parc’que tu n’l’as pas fait
On a tiré là où t’as bavé
On a raflé là où t’as gaffé
On a charbonné comme jamais
Dans le trafic ou pas on a taffé
Continue d’voir l’marabout
Ou d’lire dans les marcs de café
Sur moi j’ai la graine de café
T’es mauvais parc’que tu n’l’as pas fait
On a tiré là où t’as bavé
On a raflé là où t’as gaffé